Cette année, en plus de l’aide en faveur des camps de réfugiés et de ses actions dans la région de Phnom Phen, l’association AME D’ASIE a apporté un secours financier aux sinistrés du tsunami de l’île de Koh Pee Pee. Compte rendu des opérations menées dans la région de Phnom Penh. La première opération s’est située dans la décharge nous a permis de nous rendre compte de la misère de cette population.Des familles entières issues des campagnes cherchent dans cette décharge à ciel ouvert et dans une odeur pestilentielle, un moyen de subsistance.Pour un ½ dollar par jour, ils travaillent nuit et jour dans ce marécage d’ordures en putréfaction.Nombreux sont ceux qui n’en sortiront jamais.Souvent atteints de maladies graves, ils n’ont pas les moyens de se soigner ni même d’arrêter le travail pour aller consulter un médecin.A l’exemple de cette fillette de 4 ans, déshydratée par une diarrhée, que nous avons trouvée entourée de mouches et qui, sans notre secours immédiat, ne serait plus de ce monde.La mère interrogée sur cette inaction de sa part, nous a expliqué qu’elle ne pouvait pas se permettre de cesser le travail pour consulter un médecin sans mettre en danger la vie de ses autres enfants.Nombreux sont également les enfants qui se font écraser par les pelles mécaniques ou les camions. Les parents reçoivent alors 50$ de dédommagement.Pour soulager cette détresse, en plus d’une soupe 2 fois par semaine, nos faibles moyens ne pouvant nous permettre plus, nous avons distribué quelques jouets et soigné quelques vilaines plaies.
La première opération
La première opération s’est située dans la décharge nous a permis de nous rendre compte de la misère de cette population.Des familles entières issues des campagnes cherchent dans cette décharge à ciel ouvert et dans une odeur pestilentielle, un moyen de subsistance.Pour un ½ dollar par jour, ils travaillent nuit et jour dans ce marécage d’ordures en putréfaction.Nombreux sont ceux qui n’en sortiront jamais.Souvent atteints de maladies graves, ils n’ont pas les moyens de se soigner ni même d’arrêter le travail pour aller consulter un médecin.A l’exemple de cette fillette de 4 ans, déshydratée par une diarrhée, que nous avons trouvée entourée de mouches et qui, sans notre secours immédiat, ne serait plus de ce monde.La mère interrogée sur cette inaction de sa part, nous a expliqué qu’elle ne pouvait pas se permettre de cesser le travail pour consulter un médecin sans mettre en danger la vie de ses autres enfants.Nombreux sont également les enfants qui se font écraser par les pelles mécaniques ou les camions. Les parents reçoivent alors 50$ de dédommagement.Pour soulager cette détresse, en plus d’une soupe 2 fois par semaine, nos faibles moyens ne pouvant nous permettre plus, nous avons distribué quelques jouets et soigné quelques vilaines plaies.
La deuxième opération
La deuxième opération nous à conduit dans les carrières ou des femmes et enfants, forçats des temps modernes, cassent des cailloux à longueur de journée.Notre action s’est bornée a distribuer des lunettes pour protéger leurs yeux contre les éclats de pierre, à soigner quelques malades et à distribuer quelques jouets. Notre dernière actiona été dirigée vers les villageois affectés par la dernière sécheresse et que nous avons aidés à remplir les formulaires de demandes d’aides. Nous en avons également profité pour remettre des lunettes aux anciens.